
Obligé d’attendre la fin de l’élection européenne pour pouvoir annoncer son plan social, la firme réclame un dédommagement à la France.
En tant qu’ancien conseiller aux affaires industrielles d’Emmanuel Macron quand celui-ci était ministre de l’économie, Hugh Bailey a tout naturellement satisfait aux désirs du président de différer l’annonce du plan social d’envergure que le groupe a finalement annoncé ce 29 Mai.
En effet, les élections européennes ne pouvaient pas être gâchées par cette annonce.
Cependant, le manque à gagner, ou plus exactement les dépenses superflues en salaires, oblige l’entreprise à demander des compensations financières à l’état français, que celui-ci devrait probablement accepter, en juste retour ascenseur.
En compensation, Emmanuel Macron sera nommé au conseil d’administration du groupe dès la fin de son mandat.
